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Activité médicale à titre bénévole 

 

 

 

 Info Vaccination

 

 

LES MALADIES NEURODÉGÉNÉRATIVES 

SCLÉROSE EN PLAQUES - FIBROMYALGIE - PARKINSON - AUTISME

ET LA PLUPART DES MALADIES DITES AUTO-IMMUNES SONT LIÉES A LA VACCINATION

 

 Ne jamais perdre de vue que tous les poisons et toxines agissent à l'état de trace, 

                   En deçà du milliardième de gramme - voir introduction

 

 

 TOUS  CONCERNÉS PAR LA VACCINATION

 

 

L' historique insoupçonné de la vaccination 

 

 

 

 LE POISON DE LA COMPOSITION VACCINALE - la bombe cellulaire à retardement - partiellement dévoilée

 

 

 Après des décennies de mutisme, d'immobilisme, la communauté scientifique se consulte pour sortir enfin de sa léthargie. Pour autant la monstruosité de la vaccination n'est pas remise en cause, moins encore proscrite ! Les exceptions sont rares, notamment en France.

 

 

Le compte rendu du Dr Russel BLAYLOCK - neurochirurgien.

 

 

 

 La Suède rend la vaccination obligatoire inconstitutionnelle 

Mai 2017 

 

Désormais ce pays rejette les vaccinations obligatoires tout d'abord après avoir évoqué de graves problèmes de santé liés à cette pratique d'un autre âge, aussi parce que le 10 mai 2017, le Parlement a spécifié que ce type d'obligation violerait les principes fondateurs de la Constitution. Source.  

 

Onze pays européens n'imposent plus de vaccination obligatoire

 

10/09/17 - En Norvège, Danemark, Allemagne,  Autriche, Suisse, Royaume-Uni, Espagne, Pays-Bas, Luxembourg, Finlande, Islande, plus aucune vaccination n'est obligatoire. En Belgique seulement contre la poliomyélite. Au Danemark, le taux de vaccination volontaire contre l'hépatite B est proche de zéro.

 

Tandis qu'en France, la situation est totalement inversée !

 

Dans le même temps, en juin 2017, la nouvelle ministre française de la Santé, soutenue par la grande majorité des représentants du corps médical, veut rendre obligatoires onze vaccins pour les nouveaux-nés. En incluant les rappels, le système immunitaire des bébés, immature avant l'âge de 18 mois, subira une agression sans précédent, jusqu'à 40 doses de poisons agissant sur les ensembles cellulaires à l'état de trace, tout au long de la vie, s'agissant de produits hyper-nocifs à très faible dose, selon les derniers travaux de pointe en toxicologie et biologie moléculaire ; lesquels largement démontrés ne sont pas reconnus par un milieu médical entièrement soumis aux directives et objectif mercantiles de l'industrie pharmaceutique.

 

Qui sont les bénéficiaires de ce forcing insensé ? 

 

La nouvelle ministre de la Santé, Agnès BUZYN, ex membre du conseil d'administration de laboratoires fabricant de vaccins, Novartis et Bristol-Meyers-Squibb, de 2009 à 2011, disait récemment "Les industriels gagneront de l'argent avec cette mesure" ; s'agissant d'un rendement de 110 à 120 millions d'euros par an.

 

Cette initiative déconcertante de la ministre contourne la décision du Conseil d'Etat du 08 février 2017 relative au retour du seul vaccin obligatoire en France, le DT-P (diphtérie - tétanos - polio) sans aucune association à d'autres types de vaccins ; une décision motivée par une pétition en cours, déjà signée par plus d'un million de français, pour ne pas vacciner au delà du DT-P sans aluminium.

 

Pour s'opposer légalement à toutes formes de vaccination, du nouveau-né au vieillard, signer la pétition et se rapprocher de la ligue nationale pour la liberté des vaccinations - LNLV - BP 816 - 74016 Annecy cedex - France - contact@infovaccin.fr.   Téléphone  04 50 10 12 09 - du mardi au vendredi de 10 h à 12 h. 

 

 

Novembre 2017 : Vidéo sur le mensonge éhonté de la ministre française de la santé : les 11 vaccins imposés aux enfants

https://www.petition-vaccins.com/mobilisez-vous/video/

 

 

 

 

Voici l'avis très pertinent d'une mère de famille, particulièrement renseignée en matière de vaccination et du dogme de Pasteur

Mai 2017

 

Robert F KENNEDY expose les conséquences du diktat de l'industrie pharmaceutique, qu'il compare à la mafia sans loi.

 

Une industrie si puissante qu'elle donne chaque année 5,4 milliards $ aux médias, sous forme de publicité de complaisance, afin  d'influencer la population et par ailleurs réduire au silence les avocats comme moi. Son influence corruptrice porte jusqu'au Congrès qui lui a accordé une immunité générale en faveur de tous les fabricants de vaccins. Ceci fait suite à la démarche du président REAGAN, mis sous influence, qui à son époque avait signé une loi couvrant les dommages liés aux vaccins infantiles.

 

De ce fait, il impossible d'entamer des poursuites juridiques contre ce milieu. C'est aussi la porte ouverte à la fabrication de nouveaux vaccins inutilement injectés dans l'organisme de jeunes enfants, souvent plus de dix vaccins à la fois.

 

Par exemple pour être aux normes, mes enfants ont été confrontés à une vaccination obligatoire de 69 doses de 16 vaccins qui inclut la soi disant protection contre l’hépatite B causée par des rapports sexuels non protégés, ou chez des gens qui échangent leurs aiguilles, alors pourquoi l'imposer à l'enfant dès le premier jour de sa vie !

 

Pour ce milieu, s'est une véritable ruée vers l'or. Robert KENNEDY s'est rapproché du président TRUMP pour ouvrir une enquête indépendante sur la sécurité des vaccins.

 

Le lien direct entre vaccins et autisme

   

 

 

 

Lors du Congrès International sur l’Immunité qui s'est tenu à Nice du 26 au 30 mars 2014, d’éminents immunologistes établissent enfin un lien entre l’aluminium, les adjuvants - composition - des vaccins et le syndrome post-vaccinal.

 

Un nombre croissant de recherches de pointe apparaissent dans les plus hautes sphères de l’immunologie médicale pour confirmer les effets dévastateurs de la composition vaccinale de tous les vaccins.

 

Les plus grands noms dans le domaine de l’étude du système immunitaire et de la littérature immunologique la plus prestigieuse établissent maintenant des liens entre des ingrédients vaccinaux utilisés à large échelle, comme par exemple l’aluminium,  à des épidémies modernes terrifiantes de maladies auto-immunes comme l’autisme et l’Alzheimer. Ces scientifiques ont, en outre identifié un tout nouveau syndrome post-vaccin : le syndrome inflammatoire auto-immun induit par les adjuvants (ASIA – Autoimmune Inflammatory Syndrome Induced by Adjuvants - Syndrome Inflammatoire Auto-immun Induit par les Adjuvants).

 

Les études ASIA jettent une lumière particulière sur les mécanismes sous-jacents au travers desquels les ingrédients du vaccin déclenchent la maladie, elles font aussi apparaître au grand jour les failles d’une orthodoxie vaccinale qui date de plus d’un siècle.

 

Près de 3.000 médecins et scientifiques du monde entier se sont réunis la semaine dernière à Nice pour le 9ème Congrès International sur l’auto-immunité. Des dizaines de séminaires et de tables rondes ont été organisés dans le domaine des maladies auto-immunes. Mais l’une des quatre journées a été consacrée au 3 ème Symposium International sur les vaccins, sous l’égide de l’ ICA

 

Ignasi Rodriguez-Pinto, auto-immunologiste de l’Hôpital de Barcelone, et ancien collaborateur du célèbre Centre Zabludowicz pour maladies auto-immunes au Centre médical universitaire Sheba de Tel Aviv et qui participait au Symposium, a annoncé la création d’une registre mondial pour ASIA.

  

ASIA a été évoqué pour la première fois en 2011 par le Dr Yehuda Schoenfeld - fondateur du Centre Zabludowicz,  dans le Journal of Autoimmunology.

 

ASIA comprend un large éventail de troubles neurologiques et auto-immuns qui font suite aux injections vaccinales et qui résultent de l’exposition à leurs ingrédients, dont l’aluminium.

 

Parmi les critères de diagnostic d’ASIA, on notera : faiblesse, anxiété, éruptions cutanées, fatigue chronique, troubles du sommeil, apparition d’une série de maladies auto-immunes, lupus érythémateux systémique, polyarthrite rhumatoïde, maladies qui apparaissent parfois des années après une première injection.

 

ASIA est parfois appelé « Syndrome de Schoenfeld ». Cet immunologiste a publié plus de 1.700 articles dans la littérature médicale, il est reconnu comme la principale autorité mondiale en matière d’auto-immunité – ces maladies qui résultent de la perte de leur privilège immunitaire, ou statut de protection. Le système de défense de l’organisme les prend à tort pour des envahisseurs étrangers et lance alors des attaques contre le propre corps du sujet.

 

"ASIA est un vaste concept qui englobe tout facteur environnemental qui est susceptible de déclencher des maladies auto-immunes" a déclaré Rodriguez-Pinto. Il a ajouté : "les cas du Syndrome de la Guerre du Golfe qui ont été le résultat d’une exposition au squalène – un composant des vaccins utilisé  sur le personnel militaire pendant le Guerre du Golfe et la siliconose, -  symptômes à médiation immunitaire déclenchés par l’exposition au silicium dans le cas de prothèses et implants mammaires -  sont maintenant examinés dans le cadre d’ASIA - Syndrome Inflammatoire Auto-immun Induit par les Adjuvants". 

 

Le registre a été créé en janvier de cette année en tant qu’outil pour permettre aux chercheurs d’analyser globalement les cas d’ASIA, pour pouvoir également comparer les manifestations cliniques après exposition, pour établir les déclencheurs habituels d’auto-immunité, ainsi que pour comparer l’efficacité des traitements. Au cours du premier mois de fonctionnement, 283 cas confirmés du syndrome ont été enregistrés et 73% ont été observés à la suite de vaccinations. Les autres cas avaient été exposés à d’autres toxines connues.

 

La plupart des cas d’ASIA enregistrés actuellement, déclare Rodriguez-Pinto, ont suivi la vaccination contre l’hépatite B (70,7%). Quarante  pour cent de ces cas ont développé des maladies auto-immunes, y compris des scléroses en plaques.  Dans un sous-groupe de 20% on a diagnostiqué plus d’une maladie auto-immune.

 

L’article publié dans le numéro de juillet 2013 du journal Immunologic Research explique que les adjuvants ont été utilisés depuis des décennies pour améliorer la réponse immunitaire aux vaccins, et parmi toute une série, l’aluminium et le silicone sont les plus fréquemment décrits. Cet article a été signé par quatre grands immunologistes, dont le Dr Schoenfeld.

 

Bien que les vaccins soient rarement susceptibles de déclencher des maladies auto-immunes, les rapports continuent de se multiplier chez des personnes génétiquement sensibles. La chose pourrait être attribuée à la présence d’adjuvants. La relation temporaire entre l’administration du vaccin et l’apparition de la maladie peut être de quelques semaines à plusieurs années. 

 

L’article  précise qu’une littérature abondante montre maintenant que l’exposition de personnes humaines ou d’animaux à l’aluminium provenant de diverses sources peut avoir des conséquences néfastes sur le système nerveux, en particulier chez les adultes. Parmi les auteurs de cette littérature abondante, il convient de citer Christopher Shaw du Canada, Président de l’Institut de Recherche sur la Sécurité Médicale des Enfants et chercheur à l’Université de Colombie Britannique qui, la semaine dernière au Congrès International sur l’Auto immunité, a décrit l’aluminium comme "insidieusement dangereux". "Il est bien connu que l’ion aluminium est très toxique", a dit Shaw. "Sa toxicité a été reconnue il y a bien longtemps, en fait depuis 1911 et les preuves n’ont fait que s’accumuler depuis", en particulier dans un nombre croissant de preuves que l’aluminium joue un rôle dans la maladie d’Alzheimer et dans l’autisme".

 

Bien que l’on trouve l’aluminium dans certaines nourritures comme dans des eaux de source, c’est depuis 1920 qu’il a été utilisé dans un nombre croissant de vaccins a précisé Shaw,  et "l’endroit où vous l’introduisez  et la manière de l’administrer font en fait toute la différence".  Il a ajouté : "l’aluminium est une neurotoxine, de l’échelle moléculaire entre ions et molécules, du génome,  du niveau cellulaire et des protéines, il n’existe aucun niveau notamment du système nerveux que l’aluminium ne puisse impacter négativement".  Shaw a parlé de sa recherche sur les souris auxquelles il avait injecté des doses d’aluminium équivalentes à celles utilisées pour les injections de vaccins. Ses études ont montré une perte progressive de la force musculaire et de l’endurance, ainsi qu’au niveau cellulaire, une perte grave des neurones moteurs. 

 

Shaw, ainsi que d’autres chercheurs ont également démontré des déficits d’interaction sociale, ainsi que de l’anxiété chez des souris vaccinées se manifestant par une tendance obsessive à monter des escaliers et par une réticence à se déplacer entre des régions claires et des régions sombres, par rapport aux témoins. Au cours de ses prochaines recherches, Shaw s’occupera à démontrer l’impact de l’aluminium sur les protéines des gènes, ainsi que sur l’expression des gènes en relation avec l’autisme.

 

Stéphanie Seneff, directeur de recherches au Massachussetts Institute of Technology (MIT), Syndrome Inflammatoire Auto-immun Induit par les Adjuvants a présenté un tour d’horizon des études décrivant l’effet de l’aluminium sur la glande pinéale, ainsi que son explication possible de la forte prévalence des troubles du sommeil chez les personnes souffrant du Syndrome Inflammatoire Auto-immun Induit par les Adjuvants - ASIA.

 

Le chercheur français Romain Gherardi a expliqué l’étude de 2013 réalisée par son équipe  qu'une méningo-encéphalite grave chez la souris a été révélée après vaccination, ainsi que le suivi des nanoparticules d’aluminium à des doses équivalentes à celles qu’une personne humaine pourrait recevoir. L’équipe de Gherardi a trouvé des dépôts d’aluminium encapsulés dans les macrophages – ces grandes cellules immunitaires qui absorbent des cellules étrangères – dans les ganglions lymphatiques, la rate et les tissus du cerveau seulement quatre jours après l’injection et pouvant durer jusqu’à un an après une seule injection. Les particules d’aluminium utilisées dans les vaccins sont biopersistantes  et neuromigratoires, a-t-il conclu. "Ces propriétés ont précédemment été sous-estimées". Il a précisé qu’elles pourraient expliquer "les effets neurobiologiques indésirables".

 

Un autre chercheur canadien, Lucija Tomljenovic, a décrit les mécanismes qui ont été à l’œuvre dans le décès de deux jeunes-filles : une jeune-fille de 19 ans décédée pendant son sommeil six mois après avoir reçu le vaccin contre le HPV et une fille de 14 ans qui est morte dans sa baignoire 15 jours après avoir reçu la deuxième injection du vaccin contre le HPV. Tomljenovic a coloré les échantillons de tissus provenant des cerveaux des deux filles et a trouvé les preuves que  l’aluminium a agi dans le cerveau comme un "cheval de Troie" , emportant avec lui les composants du vaccin qui ont induit une attaque auto-immune de réactivité croisée et qui a provoqué une hémorragie cérébrale.

 

Bien qu’il n’y ait pas d’études réalisées sur l’homme, l’expérience du chercheur vétérinaire espagnol Lluis Lujan avec des moutons exposés à des vaccins contenant de l’aluminium est encore plus significative. Lujan  a souligné   les conséquences dévastatrices d’une campagne de vaccination obligatoire contre la fièvre catarrhale en 2008 en Espagne et au cours de laquelle des quantités d’animaux sont morts – Ces cas sont aujourd’hui reconnus comme étant la version ovine de l’ASIA. Dans son étude de 2013 destinée à enquêter sur les causes sous-jacentes de l’épidémie a révélé que seulement 0,5% des moutons inoculés avec des vaccins contenant de l’aluminium présentaient une réaction aiguë durant les deux à six premiers jours, marquée par une série de signes nerveux, y compris la léthargie, une cécité transitoire, la stupeur, la prostration et des convulsions.

 

Cependant, après les décès qui ont suivi l’injection du vaccin contre la maladie, l’apparition ultérieure de la phase chronique de la maladie varie considérablement. Elle se manifeste dans 50 à 70% des troupeaux et touche parfois près de 100% des animaux d’un troupeau donné. Les réactions sont souvent déclenchées par une exposition au froid et débute par un comportement anormal : de l’agitation, arrachement compulsif de la laine, rougeurs de la peau, faiblesse généralisée, perte de poids, tremblements, et enfin dans la phase terminale où les animaux tombent et ne savent plus se relever. Ils deviennent insensibles, tombent dans le coma et finalement décèdent. Les examens post-mortem ont révélé de graves nécroses neuronales, ainsi que de l’aluminium dans les tissus nerveux.

 

"Nous sommes censés comparer les avantages des vaccins par rapport aux effets indésirables" a déclaré Lujan. " Mais on raconte que les vaccins n'ont que des avantages, sans dire que le reste est ignoré, ou que personne ne veut en entendre parler".

 

Il est certain qu’il y a beaucoup de personnes qui n’ont aucune envie d’entendre parler des dernières recherches qui établissent un lien entre les vaccins et des maladies débilitantes et incurables. L’énormité des conséquences de l’ASIA, ainsi que la toxicité de l’adjuvant aluminium en usage courant dans le monde ne semble pas encore avoir touché la conscience du monde médical. Il est à peine question de politique de santé publique alors que de plus en plus de nouveaux vaccins continuent d’être ajoutés aux programmes de vaccinations pédiatriques sans que l’on prenne en compte les charges toxiques d’aluminium. Et qui pourra définir la dose tolérable d’une neurotoxine dans un vaccin destiné à un nouveau-né en bonne santé ? Il existe des carences stupéfiantes dans ce qu’on appelle le  consentement éclairé. C’est aussi un problème dont on ne s’occupe pas.

 

Combien de parents choisiraient-ils, par exemple, de faire vacciner leur nouveau né en parfaite santé contre un risque bien éloigné de contracter l’hépatite B face au risque que leur bébé puisse peut-être développer des maladies neuro-immunologiques irréversibles et mal comprises.

 

"D’abord ne pas nuire", a déclaré un scientifique apparemment frustré de la FDA américaine. "Quand on sait qu’une chose est toxique, elle ne devrait jamais être administrée à des personnes surtout à celles qui sont en bonne santé. Nous avons suffisamment de preuves aujourd’hui qu’il s’agit de produit toxique. Nous pouvons bien sûr faire des débats, mais selon ma propre expérience, il ne s’agit même pas d’un bon adjuvant". 

 

Personne ne semble mettre les géants pharmaceutiques au défi de retirer l’aluminium des vaccins, ainsi que la plupart des autres adjuvants. Bien que les scientifiques de l’ACI (Alliance Coopérative Internationale - IAC) seraient probablement les personnes les mieux désignées pour le faire.

 

Les victimes de l’ASIA sont prisonnières d’un système qui ignore quasi complètement le problème des adjuvants. Leurs symptômes, même ceux qui se produisent immédiatement après la vaccination ne sont pas reconnus par les médecins qui ont été endoctrinés par un siècle de dogme vaccinal. Ces pauvres victimes sont renvoyées d’un spécialiste à l’autre et aboutissent fréquemment chez des psychiatres.

 

Sarah Jensen, membre du conseil d’administration du forum sur la vaccination au Danemark, a l’intention de publier les détails d’un registre ASIA de 200 cas  de jeunes filles danoises de 14 à 25 ans qui ont connu de graves complications de santé après l’injection du vaccin Gardasil. Mais Jensen suppose que la majorité des victimes du Gardasil – comme celles qui disent que les dommages vaccinaux relèvent d’un mythe – n’ont jamais entendu parler de ce syndrome.

 

Alors que de nombreux médecins et chercheurs de l’ACI (IAC) ne voient dans ce problème que le simple remplacement de l’aluminium par un produit plus sûr, l’étude de l’ASIA continue de soulever des questions plus fondamentales encore et qui restent en suspens.

 

Si la toxicité de l’aluminium a été sous-estimée et/ou niée pendant près d’un siècle que faut-il dire alors des autres ingrédients comme les contaminants viraux d’ADN (discutés au congrès) et les agents infectieux eux-mêmes. Que faire si l’ensemble du modèle vaccinal relève d’un orgueil qui s’est trompé de paradigme "un médicament – un effet"  et qui a largement sous-estimé la complexité spectaculaire du système immunitaire humain ?

 

Après le vaccin, qui peut prédire la latence ? Qu’en serait-il si une seule injection d’aluminium précipitait le système immunitaire dans une maladie neurologique ou immunologique qui serait déclenchée des années ou peut-être des décennies plus tard ? Si c’était le cas ASIA serait la pointe émergée d’un énorme iceberg.  Source : Greenmedinfo.com

 

  • L'Inde entame une poursuite judiciaire contre la fondation Bill GATES pour avoir testé des vaccins sans le consentement des enfants cobayes, ce qui a provoqué 10.000 décès liés d'entre-eux sur le seul territoire du Pakistan - source.

 

Pour autant la monstruosité de la vaccination n'est pas remise en cause, moins encore proscrite !

 

Pour ceux qui veulent recevoir gratuitement  mon livre - format numérique  -  Vaccination - Sida - Ebola - pharmacopée - voir  l'onglet Livres et vidéo - en faire la demande avec la rubrique contact, en précisant bien votre adresse électronique - e.mail - pour en assurer la transmission.

 

 

 


COMMENT REFUSER LA VACCINATION

 

Sachez que la France, pays de Pasteur, est le pays qui impose la quasi totalité des vaccins. Au Canada, en Suède, en Italie... aucune vaccination n'est imposée, conformément aux principes directeurs des Droits inaliénables de l'homme. Voir aussi Infos à révéler.

 

Pour tous eux qui refusent à bon droit la vaccination, qui ne connaissent pas leurs droits citoyens, se rapprocher de la ligue nationale pour la liberté des vaccinations - LNLV - BP. 816 - 74016 Annecy cedex - France - contact@infovaccin.fr.   Téléphone  04 50 10 12 09 - du mardi au vendredi de 10 h à 12 h.