Mai 2019

 

 

Cholestérol & Propagande

 

 

Traducción parcial y vidéo para nuestros amigos españoles - Traduction partielle pour nos amis espagnols

"Mon analyse de sang indique un niveau élevé de LDL. Mon docteur dit qu’il s’agit du mauvais cholestérol sanguin, je suis très inquiet pour mes artères, mon cœur, pour ma santé " !

 

"Mi análisis de sangre indica un alto nivel de LDL ¡Mi médico dice que es colesterol malo en la sangre, estoy muy preocupado por mis arterias, mi corazón y mi salud " !

 

 

Voici le slogan que l’on entend à longueur de journée, les gens sont très inquiets à cause du cholestérol. L’angoisse touche les séniors, mais à cause de la propagande anti-cholestérol, les juniors eux-mêmes se traquassent sur ce sujet, plus que pour la cigarette, le téléphone portable, les hamburgers de McDo, le Coca-cola, la contraception…

 

Fausse inquiétude, le cholestérol est une substance noble, essentielle, vitale, pour les membranes de toutes les cellules animales, pour la production d’hormones, pour le cerveau. Il est absent des cellules végétales, des bactéries, il ne concerne que les animaux dits supérieurs. En aucun cas il agit comme un poison, comme un encrassant des artères, à l’exemple du calcaire qui se dépose en agrégat sur les  conduites d’eau.

 

Pourtant, le corps médical dans son ensemble n’a pas su discerner ce sujet essentiel. Il est entièrement conditionné par Big Pharma assuré que le cholestérol est le pire des maux à l’origine d’artères obstruées, d’embolie, d’accident vasculaire cérébral – AVC… Pourtant, il suffisait de se documenter en consultant des articles médicaux de pointe pour savoir que les crises cardiaques ne sont pas du tout corrélées à un niveau élevé de cholestérol.

 

Confirmation faite récemment au cours d’un colloque de la British Medical Association par le Dr MALCOM. Même conclusion sur la base des données du projet Monica piloté antérieurement par l’OMS, sur un panel de 15 populations diversifiées.

 

En réalité, la formation progressive de plaques artérielles (micro-agrégat) est la conséquence de la présence de radicaux libres, ces substances inflammatoires, oxydantes, qui agressent les artères, contre lesquels l’organisme se protège. La résultante 1) de déchets cellulaires consécutifs à une mauvaise alimentation 2) de la pollution atmosphérique consécutive aux gaz d’échappement, à l’ozone, au tabac, aux ondes d’hyperfréquence, de type wifi…

 

Ces molécules nocives, dans cet environnement pollué, comme l’oxygène qui corrode le fer, rongent les parois artérielles jusque-là protégées par une fine couche lubrifiante permettant au sang de circuler, tout comme l’eau de pluie peut ruisseler librement sur les feuilles lisses des arbres à caoutchouc, sans laisser la moindre trace.

 

 

L’organisme va réagir à cette dégradation en réparant les microfissures avec un mélange de cholestérol, de calcium… Une réaction innée qui assure la survie mais qui sans correctif va provoquer des plaques dites athéromateuses. Au lieu d’y répondre par une alimentation de saison saine riche en antioxydants, polyphénols1, l’industrie pharmaceutique une fois de plus a saisi l’occasion de faire peur aux gens, de les conditionner à consommer cette fois des anti-cholestérols à base de statines, pour effet de faire le plus grand bénéfice commercial jamais réalisé par cette industrie, peu importe la santé publique.

 

1 Légumes non dégradés par une cuisson poussée et fruits mûrs, verts et rouges, bleus (myrtilles, mûres, cassis, aubergines, vin rouge) et compléments : jus de grenade au rayon frais - vitamine E - surtout l’acide ascorbique (vitamine C) en association avec le coenzyme Q10, ou COQ10 et du  jus déshydraté d’herbe d’orge pour nettoyer, entre autres, les effets de la pollution atmosphérique.

 

En 1990, la firme Merck savait qu’il suffisait d’ajouter aux statines la substance naturellement produite par l’organisme le CoQ10 pour limiter les effets secondaires de cette base médicamenteuse ; découverte brevetée, puis abandonnée.

 

Les traders du marketing à l’origine des anti-cholestérols à base de statines ont poussé la propagande jusqu’au bout en disant au grand public qu’il s’agissait du meilleur moyen de se prémunir des maladies de cœur en prenant à vie ce médicament salvateur. Voilà la bonne affaire, un produit qui depuis ce plan initial de parfais business est devenu leader mondial du marché des médicaments.

 

Cette désinformation a même réussi à impressionné les plus jeunes, apeurés à l’idée de mourir avant la quarantaine. Pour parvenir à ce résultat, ce lobby a organisé la falsification de tous les tests obligatoires avant mise sur le marché,  occultant tous les effets secondaires empoisonnés des statines : baisse de production d’énergie cellulaire impactant la fibre musculaire, notamment celle du cœur (myocarde) – douleurs musculaires – diminution des capacités cognitives, sexuelles – augmentation du risque de la vision, de dépression nerveuse, de cancer… 

 

 

Témoignage du Professeur Even " Le cholestérol est une molécule vitale "

 

 

Selon le Dr Michel de LORGERIL, cardiologue, chercheur au CNRS, meilleur spécialiste français du cholestérol, " Le cholestérol est une molécule précieuse dans notre organisme, tellement précieuse que nous ne savons pas la détruire, seulement la transformer naturellement dans notre organisme, par exemple en hormones stéroïdiennes ou en vitamines ".

 

Témoignage par l’image " Peur autour des statines "par le Dr Michel de LORGERIL 

 

Environ 250 millions de gens dans le monde utilisent des pseudos médicaments à base de statines

 

Cholestérol le grand bluff !

 

Il s’avère que les statines déstructures et détruisent les fibres musculaires, jusqu’à l’insuffisance cardiaque congestive, comme le souligne le cardiologue texans Peter LANGSJOEN. S’ajoutent : l’accident vasculaire cérébral – l’accident vasculaire cérébral - AVC – l’immunosuppression – la réduction de sensibilité à l’insuline – La destruction du coenzyme Q10   Les troubles cognitifs ou psychiatriques, jusqu’au suicide.

 

A lui seul le mot cholestérol provoque spontanément un sentiment d’appréhension, d’inquiétude et d’autres préjugés négatifs. Il évoque une dysfonction métabolique qui faute de médicament puissant n’aboutira que tôt ou tard à un problème cardiovasculaire, à un décès précoce. Tout ceci est faux, car sans cholestérol il n’y aurait pas de vie cellulaire chez les êtres supérieurs, les mammifères.

 

Selon l’avis populaire forgé et malicieusement entretenu par le milieu pharmaceutique, il faut absolument diminuer le taux de soi-disant mauvais cholestérol dans le sang, s’abstenir d’aliments qui en contiennent. Ceci est également faux, car c’est le foie qui élabore en permanence le cholestérol dans la proportion de plus de 70 %.

 

Notre organisme comprend des mécanismes sophistiqués pour ne jamais en manquer. Si notre alimentation en contient, le foie en ralentira la production. Le cholestérol sanguin n’est que très peu corrélé à celui contenu dans les aliments. Toute la propagande faite sur ce sujet entretient durablement ce mythe. On voit beaucoup de jeunes adultes s’en inquiéter, davantage que pour les conséquences du tabac. Un effet de propagande à l’entier profit financier de Big Pharma, mais au total détriment de la santé publique.

 

Minorer les effets secondaires des médicaments

 

C’est une autre méthode éprouvée consistant à scinder tout effet secondaire grave en plusieurs effets adoucis, afin que le médicament puisse être homologué, ce qu’a précisé aussi Joël. M. KAUFMANN, professeur émérite à l’université de Philadelphie.

Inventer des symptômes et des maladies

 

En 1776, le Dr Benjamin RUSH, médecin de George WASHIGTON et signataire de la Déclaration d’indépendance des États-Unis avait prévenu "À moins que nous n’incluions la liberté thérapeutique dans notre Constitution, la médecine installera un jour une dictature que nous sommes incapables de concevoir pour le moment".

 

Pour entretenir les ventes de médicaments dont les brevets arrivent à échéance, le marketing dramatise des maladies et des symptômes existants ou en invente d’autres, d’autant plus que le marché global est en baisse depuis plusieurs années.

 

En 1998, l’OMS, de connivence avec l’industrie pharmaceutique, abaisse le seuil pathologique du cholestérol de 240 mg/dl de sang à 200 mg/dl. C’est ainsi que le marché des statines s’ouvre à une fraction supplémentaire de 42 millions d’américains. Lesquels basculent officiellement dans la case " malades avérés ". Ainsi, depuis l’an 2000, l’utilisation des anti- cholestérols a plus que triplé dans les pays de l’OCDE, un marché de 40 milliards $.

 

 

Ce témoignage par l’image de 58 minutes "Les vendeurs de maladie" détaille le processus pour façonner de nombreuses fausses maladies inventées par cette industrie globalement malfaisante.

 

 

S’ingénier à la propagande, en 2013, neuf des dix plus grandes firmes pharmaceutiques ont dépensé plus en marketing - publicité qu’en recherche et développement. Aux États-Unis, le budget publicitaire des  laboratoires dispose de 28 milliards $ par an.

 

En France, en 2007, l’inspection générale des affaire sociale – IGAS – dénonçait les 3 milliards € utilisés par les trusts à la promotion des médicaments via les visites médicales, cadeaux, séjour vacances sous prétexte de Congrès, de formation… Soit 25.000 € par an et par médecin de ville.

 

Frauder et corrompre tous les milieux

 

Cette industrie très puissante s’applique à soudoyer tous les milieux – hommes politiques – dirigeants d’organismes de sécurité alimentaire et du médicament – chefs de laboratoires privés et universitaires – éditeurs de presse spécialisée – experts médicaux… Un marché le plus fabuleux comparé à celui de l’armement. Des moyens financiers bien supérieurs à la plupart des États-nation, dont l’élite politique est rapidement influencée et souvent corrompue par ce milieu.

 

Par exemple, Georges W. BUSH, bénéficiaire du soutien financier de l’industrie pharmaceutique lors de sa campagne, avait nommé un dirigeant de la firme pharmaceutique Eli Lilly à la tête du budget de la maison blanche. En France, le ministre MATTEI de la santé s’était entouré d’un nouveau directeur de Cabinet, Michaël DANON, ancien cadre dirigeant de Lilly. Avant cela, il fut ancien secrétaire général de l’Agence d’accréditation chargée de d’évaluer tous les actes et remboursements des prestations de santé publique.

 

Le coût de la fraude médicale et de la corruption. Des études de l’EHFCN en 2009 l’estiment à 150 millions € par jour dans l’Union européenne. Soit le salaire annuel de 2,5 millions d’infirmières, ou la création de 3500 cliniques. Aux États-Unis, l’escroquerie à l’assurance maladie impliquant des mafieux, médecins, pharmaciens, infirmiers pèsent à elle seule 60 milliards € en 2014.

 

Un aperçu du mensonge, de la fraude et corruption : Des essais truqués de médicaments sont à l’origine de la fraude médicale la plus importante, mise à jour en 2009. Elle porte sur douze années d’études frauduleuses au sujet du traitement de la douleur et de celui de l’anesthésie. Etudes réalisées par une sommité, le Dr REUBEN.

 

Cette tricherie a permis aux firmes Merck – Pfizer – Wyeth – d’obtenir de la Food and Drug Administration – FDA – l’autorisation de mise sur le marché respectivement du Celebrex, du Dynastat, du Lyrica, du Vioxx, de l’Effexor, avec un gain par milliards de dollars.

 

En conclusion : Ne pas se laisser impressionner par le corps médical, ni par une analyse de sang qui indiquerait un taux de cholestérol anormalement élevé. Vous l'avez bien compris, tout est truqué, au détriment du grand public trop confiant et trop naïf, que l'on prive sciemment  d'informations fiables en de nombreux domaines vitaux.